Avec tous les mélomanes et les inconditionnels du célèbre Festival de Baalbeck, fondé en 1956, nous saluons haut et fort les décisions du Comité exécutif à travers sa présidente Nayla de Freige qui a souhaité mener à terme cette mission culturelle car « arrêter c’était mourir, continuer c’était survivre ».
Un festival relocalisé, à la Magnanerie de Sad el-Baouchrieh, en banlieue de Beyrouth.
Lancé envers une situation régionale instable et irritable,
malgré les voitures piégées et des explosions criminelles,
contre tout ceux qui veulent nous faire plier.
L’Orient-Le Jour a filmé les préparatifs et la mise en place jusqu’au jour J. Une leçon de résistance culturelle,la plus subtile des réponses contre la barbarie.